Vit et travaille à Caen

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Peintre, graveur et sculpteur d’œuvres en terres cuites, Jacques Pasquier expose régulièrement en France et à l’étranger. Son œuvre est présentée dans les collections publiques, notamment au musée des beaux-arts de Caen, à la Bibliothèque nationale de France, au musée des beaux-arts de Nantes, à Bergen (Pays-Bas), à la maison de l’Humour et de la Satire de Gabrovo (Bulgarie), au musée des beaux-arts de Belfort et au musée Eugène-Boudin de Honfleur.

Jacques Pasquier par Michel Onfray : « Jacques Pasquier est un peintre errant qui cherche, soit, mais surtout qui trouve. En plus de trente années de peinture, il a dit de manière plastique un nombre incalculable de choses les papillons exprimeront l’éternelle difficulté de la lutte contre la matière, le désir de légèreté, la volonté de se faire diaphane, libéré de la pesanteur du monde ; le trait des personnages reliés dira le solipsisme malgré la communauté de destin des hommes  » tous voués à la douleur, la souffrance, la mort, et le néant ; les mécaniques raconteront l’étrange destin de ce que sont les corps, ces machines désirantes qui produisent une vitalité, une énergie dont l’œuvre entière de jacques Pasquier est tentative de captation ; les rouleaux montreront la dialectique du Même et de l’Autre, de la Répétition et de la Différence, en un mot, de l’Eternel retour; le pli informera sur les lignes imaginaires qui structurent les inconscients, les personnalités et les caractères ; le spécimen expliquera les vitalités moléculaires à l’œuvre dans tout principe informant le réel. A chaque fois, il s’agira de saisir un fragment du monde en ce qu’il exprime la totalité. Jacques Pasquier pourrait souscrire au monisme philosophique et affirmer qu’il n’existe, en matière de réalité, qu’une seule énergie diversement modifiée. Le travail de l’artiste consiste alors à montrer l’extrême variété de ces modifications, leurs modes. » dos de couverture « l’Oeil nomade, La peinture de jacques Pasquier » Editions Folle Avoine 1993